Vous naviguez en mode anonymisé, plus d’infos

Champs de colza en Nouvelle-Aquitaine
Temps de lecture 2 minutes
article

Mobilité durable : des transports plus propres dans la Vienne

Dans la Vienne, plusieurs cars interurbains au bioGNV circulent déjà sur le réseau interurbain. Et cette transition énergétique vers des carburants moins polluants continue.

Flash info service
Nouveaux tarifs pour les cars régionaux le 1er septembre
Lire plus
A partir du 1er septembre 2024, la gamme des tarifs des cars évolue.
TARIFICATION CHARENTE-MARITIME (Format pdf, 443.38 Ko)
Fermer
Publié le mercredi 18 septembre 2024
  • # Cars régionaux
  • # Nouvelle-Aquitaine
  • # Vienne
  • # Énergies renouvelables
  • # Environnement
  • # Transports
  • # Particulier

La transition énergétique sur le réseau de la Vienne

Le « verdissement » des transports routiers régionaux se poursuit dans la Vienne. Près d’une dizaine de véhicules roulent avec des solutions alternatives au diesel, sur plusieurs lignes régionales. Déjà 7 cars au bioGNV circulent sur les lignes interurbaines :

  • 2 cars sur la ligne 117 Neuville de Poitou <> Avanton-Futuroscope
  • 1 car sur la ligne 240 L’Isle-Jourdain <> Poitiers
  • 4 cars sur les lignes 126 Valence en Poitou <> Vivonne <> Poitiers et 112 Châtellerault <> Poitiers
Deux nouveaux cars au bioGNV pour la ligne Poitiers <> Nantes

2 nouveaux cars au bioGNV ont été mis en circulation en mai 2024 sur la ligne interrégionale 100 Poitiers <> Parthenay <> Nantes. Ces cars de 53 places, plus 1 place pour un passager en fauteuil roulant, offrent un haut niveau de confort pour les voyageurs (une prise USB par passager, une prise électrique par banquette). Grâce à l’acquisition de ces deux véhicules Irizar bio-GNV, la ligne Nantes-Poitiers devient la première ligne régionale 100 % bio-GNV en Pays de la Loire.

Les cars au bioGNV dans la Vienne

Carburant renouvelable, le bioGNV (gaz naturel pour véhicules) est produit à partir de déchets organiques (les restes alimentaires ou les déchets agricoles). Ces matières, en se décomposant dans des centres de méthanisation, libèrent du biogaz qui est purifié pour devenir du bioGNV. Le bioGNV peut être produit localement, en circuit court, réduisant ainsi les coûts de transport. Par rapport au diesel, il émet moins de CO2 et de particules fines, ce qui améliore la qualité de l'air. De plus, il est économique : son prix à la pompe est souvent plus stable et compétitif, tout en favorisant une énergie renouvelable et locale.